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 Le Vampire tueur de Vampire!

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2 participants
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Adrian Dâlan

Adrian Dâlan


Messages : 105
Date d'inscription : 26/06/2011

Carte Identitaire
Race: Vampire Carnivore
Clan: Solitaire
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Le Vampire tueur de Vampire! Empty
MessageSujet: Le Vampire tueur de Vampire!   Le Vampire tueur de Vampire! Icon_minitimeDim 26 Juin - 15:27

NOM - Prénom



"Mets ici une phrase, un dicton ou une maxime qui correspond à ton personnage."






Personnage

|- Age : 22ans
|- Date de naissance : 15 juin 1225
|- Métier : Bijoutier du Royaume des ombres.
|- Situation familiale : Veuf
|- Appartenance : Aucune, sauf son amie Salvia. ]
|- Race : Vampire
|- Star sur l'avatar : Travis Fimmel
|- Sexualite : Hetero

Joueur
|- Age : [AGE]
|- Localisation : [LOCALISATION]
|- Vos impressions ? : [BEAU, LAID, BIEN, ETC]
|- Comment nous avez vous trouver? : [GOOGLE, AMI, ETC]
|- Un petit mot? : [FACULTATIF]
|- Code du reglement : Validé par le plus Sexy des Vampires!



"My Past" - Histoire

Adrian, revivant chaque instant de son éternité durant les derniers instants de sa vie.
Il s’était marié, du haut de ses vingt-deux ans. Marié à la plus belle femme qui lui ait été donné de voir, de connaître, de toucher. Cette femme avait partagé ses sentiments et ils s’étaient mariés jeunes, à peine dix-huit ans, dix-sept ans pour elle. Ils vécurent ensemble dans une maisonnette, tout près du rivage de l’océan qui obsédait Adrian qui rêvait de grand, d’immense, d’une certaine liberté qui ne lui était pas permise.

L’un des jours les plus tristes de sa vie fut en juin. Il avait quitté la chaumière pour méditer dans l’air frisquet de la nuit, observant la lune se refléter dans le manteau de la terre. Des petites vagues se frappaient de temps à autres sur les galets à ses pieds. C’était un instant de tranquillité, de quiétude qui ne donnait aucun indice de ce qui allait se passer.

Dans la nuit, un hurlement déchira les nuages. Pendant un instant, Adrian crut que le ciel hurlait, qu’il se couvrirait et déverserait sa peine comme le cœur humain d’Adrian qui hurlait au son de ce cri de douleur. Il prit quelques secondes pour pivoter et regagner sa demeure. Un second cri fit trembler les parois de la maisonnette. Il provenait de leur chambre à coucher, celle où sa merveilleuse épouse reposait, en compagnie du docteur et de la sage femme. Son épouse était en train de donner naissance à leur premier enfant.

La nuit fut douloureuse, l’accouchement prit plus de douze heures. Lorsque le soleil fut haut dans le ciel, le silence regagnant la demeure…un silence pesant. La porte s’ouvrit et Adrian se leva de la chaise de cuisine sur laquelle il avait patienté toute la nuit, tremblant de tous ses membres à chaque cri de sa superbe épouse. La sage femme tenait un petit paquet et le linge était imbibé de sang, un petit bras blême tombant, sans bouger. La dame, d’un certain âge, leva les yeux vers lui, des yeux rougis par ses larmes, son visage constellé de taches salines qui avaient dégringolé de ses yeux bleu foncé. Adrian fit deux pas, tendit les mains vers le paquet inerte qui était supposé être son enfant, son bébé qui n’avait jamais respiré. Ses traits étaient paisibles, éteints. Sa bouche était entrouverte, comme si il avait voulut aspirer de grandes goulées d’air, mais rien n’avait jamais pénétré ses jeunes poumons. Son crâne chauve était déjà froid, la chaleur l’avait quitté et c’est alors qu’Adrian comprit le drame, la vérité du moment. Il éclata en sanglots amers et enfouit sa tête sur le corps sanglant, gluant et blême de son premier garçon.

Pendant des heures, il berça son chagrin sans dire un mot, se balançant d’avant arrière sur la chaise de cuisine pourtant immobile, son regard figé sur le petit visage d’ange de son bébé. Il prit plusieurs heures avant de se calmer, d’accepter de se séparer de cet être qu’il aurait du être en mesure de chérir, mais c’était impossible et il y avait sa femme qui reposait, faible mais vivante dans la pièce voisine. Adrian déposa le paquet maintenant gelé dans le berceau déplacé dans la cuisine pour éviter cette pénible vision à la jolie femme épuisée. Adrian pénétra dans la chambre et posa un regard tendre sur sa femme. Au contraire de lui, elle avait les cheveux noirs, éparpillés sur l’oreiller. Elle avait un nez fin, un visage doux mais accablé par la douleur. Ses lèvres, d’ordinaire rouge framboise, donnaient maintenant l’impression qu’elle les avait mordues pendant des heures puisqu’elles étaient presque blanches.

L’homme s’approcha et se blottit contre elle, partageant sa douleur et préférant ne rien dire. Les jours passèrent sans que rien ne vienne les déranger. Ils se nourrissaient, se soulageaient, puis retournaient se coucher sans regarder le poupon emmitouflé dans son berceau, l’air de dormir. Le temps avait cessé, la terre ne tournait plus.

Une seule année s’écoula avant que l’histoire de se reproduise et cette fois-ci, fort différemment. Ce soir-là, Adrian n’était pas à la maison, il travaillait et devait marcher plusieurs heures avant de se rendre à la maison, ce qui lui posait problème sachant que le temps était venu pour sa femme de donner enfin naissance à un deuxième bébé, qui celui-ci, espérait-t-il, vivrait. Suivant le chemin défini dans le boisé qui ornait la ville et sa chaumière sur le rivage de l’océan, il dut s’arrêter. Sur le chemin trois personnes étaient penchées sur une quatrième qui hurlait et se débattait. Il ne voyait pas très bien ce qui se passait, il pensa à une tentative de viol ou à un règlement de compte, quoi qu’il en soit il ne voulait pas qu’on le remarque, il ne voulait pas s’en mêler. Il songea à faire un détour en quittant le chemin, en traversant l’épaisse forêt, à ce niveau-là, plus dense. Il fit un seul pas dans la direction des arbres et fut arrêté. Deux mains glaciales et blanches se glissaient sur son torse, le tirant en arrière. Il ne sut même pas riposter, il se laissa entraîner vers les deux autres personnes qui avaient cessé de s’acharner sur la pauvre femme couchée en boule sur le sol. Adrian baissa les yeux sur la scène et retint un gémissement de dégoût. C’était une adolescente, maintenant inconsciente ou peut-être morte, il n’en savait pas grand-chose. Il observa son cou, qu’il pensait blessé mais haussa un sourcil en y découvrant plusieurs morsures. Alors seulement il leva les yeux sur ses agresseurs tous blancs comme neige, aux yeux rouge vif qui le dévisageaient, se passant la langue sur les lèvres de temps à autres. Il déglutit, sachant qu’il ne pourrait rien faire face à ces trois personnes qu’il soupçonnait maintenant d’être des vampires.

Il sentit la première morsure dans son cou; elle provenait de la seule femme vampire du trio, celle qui était allée le chercher. Il ne vit jamais son visage d’ailleurs. Il ferma les yeux sur l’horreur de sa mort, ne pensant plus qu’à sa femme, à quelques mètres de là. Il espérait que les vampires, une fois rassasiés, quitteraient l’endroit, laissant sa femme et son bébé en paix. Il sombra dans l’inconscience et ne sentit plus rien.


Il fut d’abord réveillé par les brûlures de son corps, puis par le bruit des vagues. Il se concentra là-dessus. Les souvenirs de son attaque ne lui revinrent qu’en dernier, quand il ouvrit les yeux. Le cadavre qu’il s’attendait à trouver près de lui était assis. L’adolescente avait l’air tout aussi perdu que lui, chacun se dévisageant, les sourcils froncés, les yeux rougeâtres détaillant chaque détail de l’autre puis, en même temps, l’horreur de la vérité les frappa.

-Vampire? Murmura la jeune fille d’une voix cristalline.

Adrian haussa les épaules, il s’en moquait, tant qu’il respirait… Il dut se concentrer là-dessus. Il se rendit alors compte que son cœur ne battait plus, que l’air n’était plus vital. Il se leva et la jeune fille l’imita. Adrian continua son chemin vers sa chaumière. La vue de l’océan provoqua en lui une vague de douleur, de nostalgie; il se rappelait maintenant, l’empressement de ses derniers sentiments humains. La cheminée de la chaumière crachait des nuages de fumée qui avait une odeur amère. Il fronça les sourcils et s’approcha doucement, sans bruit de l’unique fenêtre de la cuisine. Sa douce épouse était debout, elle chantait, elle tenait un biberon de lait plein dont elle vérifiait la chaleur. Adrian sourit, son deuxième bébé avait survécut. Alors lui parvint la faim, la soif plutôt, et sa nouvelle compagne, la jeune fille, soupira à coté de lui, tourmentée par les odeurs qui régnaient à l’intérieur.

Adrian et elle firent le tour de la maison. En ouvrant la porte, il pencha la tête, l’air menaçant. Son épouse, bras en l’air, se figea. Elle ouvrit grand les yeux, elle qui ne s’attendait plus à son retour.

-Adrian? Marmonna-t-elle. Que diable t’est-il arrivé?

Et tout se déroula si vite qu’il n’est même pas sûr de ce qui se passa. La seule chose qui le ramena à la réalité fut le bruit de la peau qui se déchirait sous ses dents, le liquide chaud et âcre qui coulait le long de sa gorge. Il ferma les yeux, savourant tout entier l’exquisité du moment. Le cœur de sa femme qui battait si fort, puis qui diminua jusqu'à cesser de battre. Le silence se fit et Adrian ouvrit les yeux. Il lâcha tout et sa femme, du moins ce qui en restait, tomba avec fracas par terre. Il la regardait, sans éprouver le moindre remord, puis leva les yeux vers la jeune fille penchée sur un minuscule corps. C’est alors qu’Adrian comprit : sa famille n’existait plus et c’était sa faute. Il bondit vers l’adolescente et l’instant suivant, il ne restait plus rien d’elle. Il brûla la maison et en sortit avant qu’elle ne lui tombe sur la tête.

Il aurait voulu pouvoir pleurer l’horreur de ces images, mais la pluie qui tombait maintenant à flot se chargea de mouiller son visage. Les remords le prirent d’assaut. Il cria, une fois, deux fois, trois fois, puis se tut. Ça ne servait à rien de toute façon. Il soupira, puis plongea dans l’océan, espérant disparaître dans ses profondeurs…

Il n’émergea que beaucoup plus tard, les yeux bleu clair, à cause de l’océan, du sang qu’il y avait trouvé. Il était parfois remonté à la surface mais restait souvent caché dans les grottes sous-marines de la côte. Il méditait sur la pierre sèche, faisant semblant de dormir et retournait à l’eau quand la marée engloutissait son refuge. C’est ainsi qu’il vécut pendant un certain temps, entrecoupé de courtes sorties.

Il parcourut l’Amérique, sans jamais rester sur place, se nourrissant de femmes, de prostituées la plupart du temps, de femmes qui n’avaient rien d’autre dans la vie. Le goût des drogues le dégoûtait, mais il ne se résignait pas à tuer quelqu’un d’autre. De toute façon, ces femmes étaient souvent arrêtées, se retrouvaient en prison et finissaient par se tuer. C’était un poids de moins pour le commun des mortels, songea-t-il.

Il trouva en ce monde une odeur qui lui rappelait celle de ceux qui l’avaient attaqué. Il s’y arrêta, discret, à la recherche de ces vampires qui avait ruiné sa vie, dans l’unique but de se venger. C'est dans cette idée qu'il croisa la route de Leony, quelque part dans les années 1300. Il sentit sur elle l'odeur d'un vampire qui lui rendait visite de temps à autres. Tous ces enfants, qui n’étaient que six à l'époque, sentaient le vampire sans en être réellement. Hybride. L'idée lui plut. Il prit un certain pour courtiser Leony qui ne semblait pas se rendre compte de l'état mort-vivant de ses amants. Il vivait non loin d'elle dans une fermette où il apprit avec elle le métier qu'était de cultiver les terres. Ses enfants ne l’aimaient pas et il pensait très sérieusement qu'ils savaient tous ce qu'il était.

À la fin, quand Paul mourut et que Leony se mit à être cruelle avec sa dernière fille, Adrian décida de cesser l'expérience. Il fit en sorte qu'elle meurt en couche de son dernier fils, qu'il nomma Evan. Puis il partit, avec ces enfants, abandonnant à leur sort ceux de Paul qui étaient presque tous vampires à présent. Les Castle ne le revirent plus.

Plus tard, il se retrouva en Angleterre, alors que ses enfants étaient partis vivre leur vie. Il les avait tous transformés en vampire et les avait laissés filer. Il trouva là une jeune femme qui semblait en peine. Il l'avait entrevue dans la cour du roi, maintenant elle semblait pleurer une perte. Il lui sourit, l'ensorcela de son pouvoir vampirique et réussit à lui donner une façon de se venger, de vivre une vie qu'elle déciderait. Il lui enseigna les règles de base, il lui apprit aussi ce que c'était de vivre sans soucis, il oublia sa jolie femme. Il apprécia longtemps Alixann pour ça, puis il dut s'enfuir sans lui donner de raisons, pour lui éviter le malheur de Dracula à ses trousses. Il quitta le Royaume-Uni et erra ensuite...
-


"Calm or Lunatic ?" - Caractère

Adrian est quelqu'un de calme, de posé. Il ne s'énerve pas souvent et voit la vie d'une manière différente. La vie est douce, calme, sereine, pas la peine de s'énerver. Quand on le croise on a toujours l'impression qu'il ne prend pas au sérieux ce qui arrive. Il ne perd jamais son sang froid et il aime bien rigoler. Il aime narguer ceux qu'il aime. Il aime bien être arrogant envers ceux qui le détestent. La façon donc il est habillé montre toujours son humeur... Bref, il est sage, comme un ange... Adrian agit comme un chevalier de l'ancien temps, tout chevalier se doit d'être patient. Il l'est donc entièrement et jusqu'à la moelle des os... Comme toutes les règles princières, on se doit d'être modeste. Adrian l'est aussi. Rien de ce qu'il fait ne vaut le mérite qu'on lui apporte. Par contre, il est parfois optimiste et pessimiste. Quand il connaît la fin de l'histoire, il peut paraître parfois pessimiste, dans ce cas, on peut en déduire que la fin sera plutôt dévastatrice! Si il est optimiste, alors souriez, car le soleil brillera haut... Adrian est jovial et plutôt amusant, pour un homme avec le passé qu'il a. Il peut être sérieux quand vient le temps de travailler.. Il est confiant, sûr de lui, rien ne l'effraie, comme un bon et parfait chevalier... Il est arrogant, il aime jouer avec les autres, il aime se valoriser et faire peur à ceux qui l’entourent. Ce qui n'est pas toujours bien. Il est très indépendant et ne reste jamais à la même place. C'est quelqu'un qui bouge toujours. Rester au même endroit trop longtemps le rend agressif. Lorsqu'il se fâche, il est violent et il est déjà suffisamment fort pour faire peur à d'autres. Enfin bon, Adrian est, le plus souvent, fier de lui. Il ne le dit pas, mais sa confiance en lui déborde parfois et les autres peuvent en souffrir. Comme si, lui, n'avait aucun problème...


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Damon Salvatore
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MessageSujet: Re: Le Vampire tueur de Vampire!   Le Vampire tueur de Vampire! Icon_minitimeDim 26 Juin - 15:52

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